Lors de son dernier sommet tenu le 25 mars 2022, la CEDEAO exigeait des autorités de la transition au Burkina, de lui fournir au plus tard le 25 avril 2022 "un chronogramme acceptable de la transition". Il s'agissait donc de revoir le délai de 3 ans de cette transition, à un timing moins long. Ce 27 avril, l'institution s'est prononcé sur le sujet après avoir reçu les propositions du Burkina, mais aussi de la Guinée Conakry. Voici ce qu'elle dit.