Après une dizaine de mois de batail judiciaire pour sortir des mailles des accusations de coup d'État qui pèsent sur lui, et après moult demandes, sans succès, de mise en liberté provisoire, cet officier de l'armée burkinabè face à la Chambre de contrôle du tribunal militaire, obtient finalement gain de cause pour sa requête.
En rappel, c'est le 10 janvier 2022 que le Ltc Zoungrana, avait été arrêté pour "atteinte à la sûreté de l’État" et ensuite ces accusations requalifiées en "blanchiment de capitaux".
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