La direction de la communication de la Présidence du Faso annonce un voyage du chef de l'Etat Roch Marc Christian Kaboré à Bamako au Mali. 

Le Chef de file de l’opposition politique burkinabè entouré des autres chefs de partis membres de l'opposition politique, a animé une conférence de presse le vendredi 30 juin 2017. Zéphirin Diabré et ses camarades ont dénoncé une aggravation de la corruption dans la gestion du pouvoir du Mouvement du peuple pour le Progès (MPP), et se sont insurgés contre un projet de loi portant allègement des conditions d’exécution du programme des projets de partenariat public-privé qui doit être voté le lundi 03 juin 2017 à l’Assemblée nationale. 

Le président du parti politique «Le Faso Autrement», a fait une lettre ouverte au premier ministre Paul Kaba Thiéba. Pour le Dr Ablassé Ouédraogo, «le Burkina Faso vacille » et le premier ministre devrait en tirer personnellement les conséquences. 

Le point de presse du gouvernement de ce jeudi 22 juin 2017 a été animé par le ministre de la justice, le ministre de l’éducation nationale, le ministre des infrastructures et celui de la communication. Les résultats des examens du primaire, le lancement des travaux à Haute intensité de main d’œuvre (HIMO), le programme d’autonomisation des jeunes et des femmes ainsi que le projet de loi portant modification de la Haute cour de justice, sont les principaux points abordés. 

Ceci est un communiqué de presse de l’Union pour le progrès et le changement (UPC).

«Processus démocratique au Burkina Faso de 1960 à nos jours», c’est autour de ce thème central que la Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) a organisé son panel débat le samedi 17 juin 2017 à Ouagadougou. Composés de politologues, de constitutionnalistes et d’analystes politiques, les différents panelistes ont passé au peigne fin l’histoire politique du Burkina Faso et proposé des solutions pour un véritable ancrage démocratique au Faso.

Le procès des membres du dernier gouvernement de Luc Adolphe Tiao est renvoyé à une date ultérieur indique ce communiqué de la Haute Cour de Justice rendu public ce vendredi 16 juin 2017. La Haute cour dit surseoir au jugement «en attendant le toilettage des textes incriminés» par le conseil constitutionnel déclarant ses articles 21 et 33 contraires à la constitution.

C’est ce mercredi 14 juin 2017, que prenait fin le mot d’ordre d’arrêt de travail de 72h précédemment lancé par les syndicats de magistrats, de greffiers et de gardes de sécurité pénitentiaire du Burkina Faso, qui dénonçaient les violences commises au palais de justice de Manga le 08 juin 2017. Estimant n’avoir pas eu gain de cause dans leurs revendications, l’arrêt de travail est reconduit dans la déclaration liminaire qui suit, mais cette fois, jusqu’à satisfaction de leurs exigences.

Portées devant le Conseil constitutionnel pour examen, les exceptions d’inconstitutionnalité soulevées par la défense et les avocats des victimes dans le procès de l’ex président du Faso Blaise et des membres de son dernier gouvernement, ont finalement obtenues des réponses. La juridiction estime les articles 21 et 33 de la Haute cours de justice, anticonstitutionnels et renvoi la balle dans le camp du gouvernement. 

La Coalition pour la Démocratie et la Réconciliation Nationale (CODER) se prononce ici sur le document proposé par le gouvernement faisant office d’avant-projet de loi organique portant Code électoral.