Ceci est un communiqué de presse du Service de communication du Chef de file de l’Opposition politique (CFOP). 

Un nouveau parti politique était annoncé depuis quelques jours dans le paysage politique du Burkina Faso. Ce mercredi 06 décembre 2017, c’est chose faite, l’Union pour la Démocratie et le Progrès (UDP) est présenté à la presse, mais ce sont quatre partis de la mouvance présidentielle qui s’unissent pour former un regroupement «de gauche», espérant en arriver à un parti politique.  

Ceci est un communiqué de la Direction de la communication et de la presse du ministère de la Justice, des Droits humains et de la Promotion civique.

Dans une récente déclaration faite devant l’alliance des partis de la majorité, le Premier Ministre Paul Kaba Thieba n’a rien trouvé de mieux à dire que de s’en prendre au CDP et à la NAFA, avec des propos qui donnent l’apparence qu’il était en proie à une véritable crise de delirium tremens, consécutive à un usage abusif d’alcool. Sinon comment comprendre qu’un homme en charge de la direction de notre pays puisse prononcer en public de telles élucubrations.

Le Secrétariat Exécutif National (SEN) de l’Alliance pour la Démocratie et la Fédération – Rassemblement Démocratique Africain (ADF-RDA) s’est réuni en sa séance ordinaire le samedi 02 décembre 2017 au siège national du parti, sous la présidence de Maître Gilbert Noël OUEDRAOGO, Président du parti. Cette réunion a permis d’aborder plusieurs sujets inscrits à l’ordre du jour, relatifs à la vie du parti, à la situation socio-politique nationale et aux activités du Chef de File l’Opposition Politique (CFOP) ainsi que celles de la Coalition pour la Démocratie et la Réconciliation nationale (CODER). 

Le Parti Socialiste du Burkina (PS-Burkina) est le dernier né de la scène politique au pays des hommes intègres. Ce parti, naturellement d’obédience socialiste a effectué son entrée de jeu ce samedi 25 novembre 2017. Un parti qui selon son président Aboubacar Balima n’est pas de trop, mais entend trancher tranche plutôt avec la forme classique actuelle des partis et formations politiques au Burkina Faso.

Le président français doit fouler le sol burkinabè le 27 novembre 2017. Pour ce faire, l’Alliance des partis de la majorité présidentielle (APMP) était face à la presse ce samedi 25 novembre 2017. L’APMP souhaite la bienvenue à Emmanuel Macron et se réjouit de cette visite qui sera une occasion selon elle, d’évoquer certaines questions à savoir l’extradition de François Compaoré et la levée du secret-défense de la France dans l’affaire Thomas Sankara. 

La population de la province du Passoré a sonné la mobilisation le samedi 18 novembre 2017 à Yako dans le Passoré, pour passer un message à la justice burkinabè sur le dossier du putsch manqué de septembre 2015. A travers une marche meeting, couplée d’une remise d’un mémorandum au Haut commissaire de la province, la foule a exigé un procès équitable pour le général Gilbert Diendéré ou tout simplement sa remise en liberté en attendant le jugement. 

Dans un communiqué publié, dimanche 12 novembre, la direction de la communication du ministère des Affaires étrangères donne des précisions sur le refoulement Ganou Diaby Kassamba, nommée ambassadeur du Burkina en Ethiopie qui défraie la chronique depuis près d’une semaine.  

Ceci est la déclaration du Syndicat autonome des agents du ministère des Affaires étrangères (SAMAE) suite au refus de l’Ethiopie d’accepter l’ambassadeur du Burkina Faso auprès de leur pays, suite à une « irrégularité » dans la nomination. Le SAMAE se dit indigné par cet acte du ministère en charge des affaires étrangères.