Selon certaines sources, le village de Yirgou dans la Province du sanematenga a été attaqué très tôt dans la matinée de ce mardi 1er janvier 2019.

Des individus armés, non encore identifiés auraient fait irruption dans le village tuant ainsi le Chef du village, son fils et quatre autres personnes.

Après avoir exécuté les six personnes, les assaillants seraient partis avec une personne dans leur fuite.

C’est la constellation dans la localité et la communauté Peulh seraient la cible des populations locales. Nous y reviendrons.

 

Infobf.net

 

Après avoir salué la mémoire du journaliste Norbert Zongo et la commémoration du 20è anniversaire du crime de Sapouy le 13 décembre dernier, l’Opposition politique burkinabè est entrée dans le vif de sujet pour lequel elle a convié la presse ce mardi 18 décembre 2018 à son siège. A ce traditionnel mardi du CFOP, c’est Adama Séré, président du Rassemblement des écologistes du Burkina Faso (RDEBF), Mamadou Kabré président du Prit Lamaya et Yumali Lompo, président du Parti national des démocrates sociaux (PNDS), qui ont animé la conférence. 

L’ONG Initiative Privée et Communautaire pour la santé et la riposte au VIH/SIDA au Burkina (IPC), a initié un atelier de formation au profit des journalistes les 14 et 15 décembre 2018 à Ouagadougou. Cette formation a concerné les stratégies de Réduction des Risques (RDR) liés à l’usage de la drogue au Burkina Faso. 

Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a rencontré en fin d’après-midi à l’ambassade du Burkina Faso à Paris, la communauté burkinabè vivant en France. Présent dans ce pays pour une visite officielle, le président Kaboré a échangé avec ses compatriotes sur leurs préoccupations et les sujets touchant la vie de la Nation. L’ambassadeur du Burkina Faso en France, Alain Francis Gustave Ilboudo et le représentant du Conseil supérieur des Burkinabè de l’extérieur (CSBE), Antoine Yougbaré, ont salué l’initiative du chef de l’Etat d’échanger avec la diaspora burkinabè en France.

Selon le président du Faso, son séjour en France s’inscrit dans le cadre d’une visite officielle au cours de laquelle des questions comme la sécurité et le G5 Sahel seront discutées avec les autorités françaises. Le chef de l’Etat a indiqué aux Burkinabè vivant en France que la situation nationale est marquée par la question sécuritaire avec des attaques terroristes dans les régions du Nord, du Sahel et de l’Est. Ces attaques, a ajouté le chef de l’Etat, ont entrainé la fermeture de plus de 600 écoles dans les régions concernées d’où l’urgence d’agir en vue de venir à bout de ce fléau.

L’espoir est permis car selon le président du Faso, « Il y a des combattants terroristes qui ont écrit pour dire qu’ils souhaitent déposer les armes et contribuer à une solution. Nous sommes à la recherche de solutions parce qu’il nous faut un centre de déradicalisation. Mais à partir du moment où cette bonne volonté est engagée, il faut que nous saisissions la main tendue et travailler avec ces derniers pour plus d’informations dans la lutte ».

La réforme des rémunérations des fonctionnaires a été aussi abordée par le président du Faso avec les Burkinabè vivant en France. Pour lui, cette réforme était nécessaire pour une question d’équité entre les agents de la fonction publique. Il a précisé que le gouvernement a décidé de rationaliser le Fonds commun, servi à certains fonctionnaires, et de mettre en place des mesures d’accompagnement pour les agents qui ont pris des engagements vis-à-vis des banques.

L’affaire Thomas Sankara, Norbert Zongo, le procès du putsch, le vote des Burkinabè de l’extérieur, l’adoption de la nouvelle Constitution ont été évoqués par le président du Faso. La hausse des frais d’inscription des étudiants africains en France, les exilés « politiques » et la réconciliation nationale ont été les préoccupations majeures exposées au chef de l’Etat.

Pour la question des frais de scolarité, le président du Faso a promis échanger avec son homologue français, Emmanuel Macron, parce que cette mesure de hausse, selon lui, est contre les engagements pris dans le cadre de la formation des étudiants africains en France. Evoquant le sujet des exilés politiques, le chef de l’Etat a été clair. « Personne n’a chassé personne du pays, ce sont les gens qui ont choisi de fuir leur pays. Celui qui veut rentrer qu’il le fasse et s’il a un problème avec la justice qu’il parte répondre ».

 

Direction de la communication de la présidence du Faso  

 

A l’occasion de la célébration du 58e anniversaire de l’accession à l’indépendance du Burkina Faso ce 11 décembre 2018, des festivaliers présents sur les lieux à Manga se sont prononcé sur le thème « bonne gouvernance et équité sociale pour une nation forte et prospère ». 

Le mardi 11 décembre 2018, la région du Centre-sud a vibré au rythme de la célébration de la fête nationale tournante, l’accession à l’indépendance du Burkina Faso. Et c’est Manga, « la cité de l’épervier », qui a abrité la cérémonie commémorative de cette année. Exécution de l’hymne national, revue des troupes, défilé civil paramilitaire et militaire, voici ce qui a ponctué la cérémonie, sous le regard du Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré. 

Ceci est une déclaration du Bureau Politique National de l’Union pour le Progrès et le Changement UPC, sur le changement de dénomination du « Groupe parlementaire UPC/RD » en « Groupe parlementaire RD ». 

Célébré sous le thème : « Bonne gouvernance, et équité sociale pour une nation forte et prospère », le 58è anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso se tient ce jour 11 décembre 2018 à Manga dans la région du Centre-Sud.

Infobf.net souhaite bonne fête à toutes et à tous.

 

Infobf.net  

A cette traditionnelle rencontre avec la presse ce mardi 4 décembre 2018, à Ouagadougou, l’Opposition politique burkinabè a abordé plusieurs sujets de l’actualité nationale. Le sujet principal a porté sur les résultats de l’audit de la gestion du gouvernement, exercice 2017 présenté par l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE/LC). Et pour le CFOP, si la corruption a atteint aujourd’hui un stade critique, cela est due à l’adoption de la loi sur les PPP et les marchés octroyés gré à gré.

Ceci est une lettre ouverte des burkinabè vivant en Espagne. Lettre adressée au président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) Newton Ahmed Barry. Nos compatriotes de l'Espagne s'insurgent contre l'absence de mission d'explication de la loi sur le vote des burkinabè de l'étranger, dans leur pays de résidence. Voici le contenu :