Journée de lutte contre le diabète : Le Lion’s Club Ouaga Impact Centenaire initie une conférence publique
mercredi, 14 novembre 2018 11:23 Écrit par Salamata NIKIEMA/Infobf.netCe mardi 13 novembre 2018, le Lions Club Ouaga Impact Centenaire a organisé une conférence publique sur le diabète à l’endroit des élèves de l’Ecole nationale de santé publique (ENSP), à Ouagadougou. Cette initiative entre dans le cadre de la commémoration de la Journée internationale contre le diabète célébrée par les Lions du monde entier, le 14 novembre de chaque année. Placée sous la présidence du Lions Rimon Hajjar, Gouverneur du District 403 A3 et le parrainage du Président de la Région 14 Honoré Patrice Toé, cette conférence s’est tenue en présence du directeur régional de l’ENSP sous le thème : « Rôles et responsabilités des agents de santé dans l’éducation et la prévention du diabète ».
Crise à la CENI : Harouna Dicko fait l’historique des évènements
mardi, 13 novembre 2018 01:37 Écrit par Infobf.netLa crise à la CENI est un risque de blocage de l’institution chargée d’un des fondamentaux de notre fragile processus démocratique, à savoir les élections honnêtes et transparentes.
I- Scènes du film :
1- Le 27 août 2018, le président de la CENI fait un tweet personnel pour annoncer la tenue du référendum ;
2- Le 28 août 2018, la Direction de la communication du MATD publie un communiqué pour annoncer qu’aucune date n’avait été arrêtée par le conseil des ministres seul habilité en la matière ;
3- Le 17 septembre 2018, tous les cinq commissaires représentant l’opposition à la CENI signent un mémorandum accusant entre autres la gestion solitaire autocratique du président de la CENI ;
4- En réponse au mémo des commissaires, le président anime une conférence de presse, le 25 septembre 2018 ;
5- Le 1er octobre 2018, les cinq commissaires réagissent par une déclaration de presse pour réaffirmer davantage leurs accusations ;
6- Le 30 octobre 2018, le président convoque une assemblée plénière sur un des points d’accusation par ses pairs à savoir le mode d’enrôlement des électeurs. Dès l’ouverture de la séance, il livre un message et quitte immédiatement la salle sans désigner un intérimaire pour la séance ;
7- Ce même jour 30 octobre 2018, sur les quinze commissaires que compte la CENI, quatorze signent un procès-verbal de cette plénière et saisissent le MATD ;
8- Le 2 novembre 2018, le président de la CENI revient à la plénière et la séance est renvoyée au 8 novembre 2018 ;
9- Le 8 novembre 2018, la plénière met en place une sous-commission ad hoc de réflexion sur le mode d’enrôlement des électeurs.
II- Critiques des scènes à ce stade :
1- Par son tweet, le président de la CENI a empiété non seulement sur une prérogative du gouvernement mais aussi sur le principe de collégialité des membres de la CENI ;
2- Par son communiqué de presse, le MATD a autorisé toute autre personne à fouetter ce président d’institution pour ses fautes ou erreurs ;
3- Par leur mémo, les commissaires ont porté sur la place publique des affaires qui pouvaient et devaient trouver leurs solutions lors d’assemblées plénières souveraines ;
4- En animant tout seul la conférence de presse, le président s’est certainement justifié publiquement mais s’est aussi, à l’instar des commissaires accusateurs, écarté de la voie règlementaire propice en de telles circonstances ;
5- La déclaration de presse des commissaires n’est que la confirmation de la crise interne qui n’a pas eue de solution en interne ;
6- Plutôt que de se retirer de la plénière, ça aurait été de la responsabilité pour le président de rester défendre son point de vue sur la question ;
7- La signature d’un procès-verbal par quatorze commissaires dont un P/O, interprétant l’attitude du président comme une démission de son poste, est révélatrice d’une situation préoccupante pour une institution comme la CENI ;
8- Le retour du président à la plénière est à saluer quelle que soit l’origine de l’initiative ;
9- Les conclusions de la plénière du 8 novembre 2018 sont de nature à calmer la situation. Dieu merci. A ce stade, je croise les doigts pour un dénouement heureux au bonheur de la démocratie.
Ouagadougou, le 11 novembre 2018
Harouna DICKO
Rentrée politique du CDP : Le parti de Eddie Komboigo se prépare pour 2020
lundi, 12 novembre 2018 19:48 Écrit par Salamata NIKIEMA/Infobf.netLe Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) tient sa rentrée politique 2018-2019 le 18 novembre 2018. La grande messe de l’ancien parti au pouvoir aura lieu le dimanche prochain à la Maison du Peuple à Ouagadougou. C’est le principal message livré par le comité d’organisation à cette conférence de presse de ce lundi 12 novembre 2018. Ce rendez-vous annuel politique permettra, selon les conférenciers, aux 900 invités du parti dirigé par Eddie Komboïgo de se remobiliser, se parler et renforcer leur capacité pour s’attaquer aux défis du moment et du futur.
Hausse des prix du carburant : Voici la réaction de la Coalition contre la vie chère «CCVC»
vendredi, 09 novembre 2018 12:56 Écrit par Communiqué de PresseLe gouvernement burkinabè, dans son conseil des ministres du jeudi 08 novembre 2018 a décidé de procéder à une hausse de 75 FCFA du prix du litre de l’essence et du gasoil à la pompe, une augmentation qui entre en vigueur ce vendredi 09 septembre 2018. Dans le communiqué qui suit, la Coalition contre la vie chère s’indigne de cette mesure et entend « se battre ». Elle appelle les populations «à rester en état de veille et à se mobiliser».
Province du Bam : La Gendarmerie de Namsiguian attaquée, un gendarme blessé
jeudi, 08 novembre 2018 14:39 Écrit par Infobf.netLa Gendarmerie de Namsiguian, localité située à environ 65 km de la ville de Kongoussi dans le Centre-nord du pays, a été la cible d’une attaque ce jeudi matin par des individus non encore identifiés a appris Infobf.net.
Un gendarme a été blessé dans l’attaque. Une moto aurait été emportée et une autre brûlée sur place par les assaillants.
Infobf.net
Politique : Le MPJD de Patrice Sambaré et tous ses militants, rejoignent le CDP de Eddie Komboigo
mercredi, 07 novembre 2018 12:08 Écrit par Salamata NIKIEMA/Infobf.netLe Mouvement patriotique des jeunes démocrates (MPJD), à l’issu d’une assemblée générale tenue ces 5 et 6 novembre 2018, a pris la résolution de « disparaitre » et de se fondre au Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Ce parti politique et tous ses militants rejoignent l’ancien parti au pouvoir dirigé par Eddie Komboigo, pour scruter l’horizon des élections de 2020. Pour les nouveaux adhérents du CDP, cette décision a été bien murie.
Crise à la CENI : L’UNAS plaide pour «un nouveau processus électoral débarrassé des problèmes de personne»
mardi, 06 novembre 2018 23:12 Écrit par Déclaration de PresseCeci est une déclaration de l’Unité d’action de la société civile (UNAS), qui s’indigne de la situation de crise à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et appelle les différents acteurs à en « tirer toutes les conséquences ».
Quatrième anniversaire de l’insurrection populaire: Le MPP appelle à la vigilance
dimanche, 04 novembre 2018 09:18 Écrit par Déclaration de PresseCeci est une déclaration du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) parti au pouvoir en marge à la commémoration du quatrième anniversaire de l’insurrection populaire de 2014.
Politique : Le CFOP annonce la rentrée politique du CDP
vendredi, 02 novembre 2018 10:31 Écrit par Déclaration de PresseLe Cadre de concertation du Chef de file de l’Opposition politique (CC/CFOP) a tenu une réunion ordinaire le mardi 30 octobre 2018 au siège du CFOP à Ouagadougou. Présidée par le Chef de file de l’Opposition, M. Zéphirin DIABRE, la rencontre avait les points suivants inscrits à son ordre du jour :
- La commémoration de l’an IV de l’Insurrection populaire des 30 et 31 Octobre 2014 ;
- La situation à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ;
- La participation de l’Opposition aux travaux sur la Charte nationale des valeurs sociales burkinabè ;
- Divers.
I – An IV de l’Insurrection populaire
Les participants se sont souvenus qu’il ya de cela quatre ans, notre pays a connu une insurrection populaire, événement qui a marqué à tous points de vue notre histoire récente, et symbolisé la quête de notre peuple pour une gouvernance vertueuse. Au-delà de la revendication relative à la limitation des mandats, notre peuple s’est insurgé contre la mal gouvernance, et a décidé de tracer de nouveaux sillons, qui s’imposeraient désormais à tous ceux qui ont en charge les affaires du pays. Par sa portée historique, l’Insurrection des 30 et 31 Octobre appartient désormais à l’héritage commun de tous les Burkinabè. Mais l’anniversaire commémoré aujourd’hui ravive les douloureux souvenirs :
- celui de la trentaine de martyrs tombés au champ d’honneur, victimes d’une certaine barbarie infiltrée en son temps au sein des forces de maintien de l’ordre, dont nous saluons la mémoire et pour qui nous continuons de réclamer justice ;
- celui des nombreux blessés, dont beaucoup sont abandonnés à leur sort, et à qui nous continuons de souhaiter un prompt rétablissement ;
- celui des victimes d’officines politico- mafieuses maintenant identifiées, qui ont profité du tumulte pour régler des comptes personnels, en procédant par exemple à l’incendie des domiciles de leurs adversaires. Quatre ans après l’événement, les familles des martyrs réclament toujours justice, chose difficile à comprendre quand on sait que ceux qui nous gouvernent aujourd’hui étaient à leurs côtés sur les barricades, et sont même de ceux qui les ont appelés à sortir manifester.
La même soif de justice est présente chez de nombreux Burkinabè qui ont été victimes de la méchanceté gratuite de politiciens qui ont saisi l’occasion pour régler avec eux des comptes personnels. De manière générale, quatre ans après, c’est la déception et la désillusion qui prévaut aujourd’hui dans l’opinion. Le rêve d’une meilleure gouvernance des Burkinabè a été trahi par le pouvoir du MPP, qui se complait dans les mêmes tares qui ont entrainé l’Insurrection.
C’est au regard de cette trahison des aspirations de l’insurrection, que l’Opposition politique a décidé de se démarquer des commémorations organisées par le pouvoir du MPP, lesquelles commémorations relèvent ni plus ni moins que de l’hypocrisie.
Pour nous, la meilleure façon d’honorer la mémoire de nos martyrs, surtout de la part de ceux qui sont arrivés au pouvoir grâce à leur sacrifice, c’est de gouverner le Burkina Faso dans le sens des aspirations pour lesquelles ils sont morts.
II – Situation à la CENI
L’Opposition est préoccupée par la situation qui prévaut à la CENI et dont les réseaux sociaux font écho depuis la plénière des commissaires du mardi 30 octobre. Cette rencontre a étalé au grand jour la divergence de point de vue qui existe entre le Président de la CENI d’une part, et les 14 commissaires d’autre part, sur la pertinence de la plateforme électronique d’enrôlement que le Président de la CENI propose.
Elle montre clairement que la proposition du Président de la CENI ne rencontre pas l’assentiment des 14 autres commissaires. Cette situation conforte la position du CFOP sur la nécessité d’une collégialité et d’un surpassement du « moi » dans toute approche relative à la matière électorale au sein de cette institution. Le CFOP appelle l’ensemble des acteurs à prendre acte de cette atmosphère délétère, en situer les responsabilités et tirer, en toute lucidité, les conséquences nécessaires.
C’est l’occasion pour l’Opposition politique burkinabè de redire ici son attachement aux valeurs républicaines et aux impératifs subséquents que sont, entre autres, l’organisation d’élections crédibles, transparentes et acceptées de tous. C’est pourquoi elle insiste sur la nécessité d’un consensus autour des règles du jeu démocratique et rejette par conséquent le code électoral adopté aux forceps par la Majorité au pouvoir.
Fort de cela, l’Opposition politique invite les apprentis, pseudo-juristes et autres experts du tas à s’abstenir de toute tentative de manipulation de l’opinion publique par des interprétations erronées des dispositions pertinentes de la loi. En effet, l’Opposition politique a pris connaissance d’une déclaration intitulée "Déclaration à la plénière", non signée qui circule sur les réseaux sociaux, depuis le 30 Octobre 2018, et qui tend à faire croire que des dispositions du code électoral adopté récemment interdirait l’enrôlement des électeurs par la formule ancienne. Il n’en est rien !
En effet, aucun des articles 14, 50, 50 bis et 53, objet d’une interprétation rendue dans ledit document, n’empêche nullement que l’enrôlement tel qu’il se fait actuellement ne puisse se faire. Quant à la référence à un article 165 septiès contenu dans la même déclaration, elle n’appelle pas de commentaire particulier ; une telle disposition n’existant pas dans le code électoral.
La méthode ancienne de l’enrôlement par l’envoi d’équipes sur le terrain a toujours fait l’unanimité et n’a enregistré, à ce jour, aucune récrimination de la part des acteurs du jeu électoral. La même déclaration évoque l’article 53 dans une démarche de tromperie de l’Opinion. En effet, cet article détermine d’une part les documents pour le vote et, d’autre part, il est attributif de compétence et le siège de la détermination du mode d’enrôlement puisqu’il est ainsi libellé :
« la carte nationale d’identité du Burkina Faso ou le passeport ordinaire en cours de validité tient lieu de carte d’électeur. La commission électorale nationale indépendante prend les dispositions pratiques et techniques pour le recensement des majeurs détenteurs de la carte d’identité nationale ou du passeport. »
Enfin, contrairement à ce que ledit document veut laisser croire, le code électoral ne fait nullement obligation, pour la CENI, d’adosser l’enrôlement des électeurs à la base de données de l’ONI. Probablement encore un de ces amateurismes tendancieux dans la lecture de l’article 265 sexiès qui est ainsi libellé « Avant l’informatisation intégrale du système de l’état civil, les structures en charges des bases de données de la CNIB et des documents d’état civil mettent à la disposition de la CENI, les données nécessaires à l’opérationnalisation de la révision du fichier électoral ».
Cela a toujours été le cas depuis l’établissement du fichier électoral biométrique. En somme, aucun des articles cités n’est d’aucun secours à la volonté de l’auteur de l’écrit dans sa tentative de manipulation de l’opinion sur un mode de recensement qui serait imposé par le code électoral. La prérogative du choix du mode de recensement des électeurs échoit à la plénière des commissaires.
Et nul ne peut l’accuser de vouloir "fabriquer la loi" quand elle use de ses prérogatives. C’est pourquoi, l’Opposition politique salue le professionnalisme et la maturité de tous les commissaires de la CENI, qui ont su surpasser toute considération partisane, pour adopter des positions de sagesse, conformément à leurs prérogatives, pour le grand bonheur du peuple burkinabè.
III – Travaux de la commission sur la Charte nationale des valeurs sociales
Le Président de l’ESPOIR, M. Jean-Hubert BAZIE, a fait un compte rendu d’étape des travaux de la commission sur la Charte nationale des valeurs sociales burkinabè, au sein de laquelle il représente l’Opposition politique. Les participants ont hautement apprécié la pertinence des travaux de cette commission. Ils ont donné des orientations au représentant de l’Opposition pour la suite de sa participation aux travaux.
IV - Divers
Au chapitre des divers, le Président du CDP, M. Eddie KOMBOIGO, a informé ses pairs de la tenue de la rentrée politique de son parti le 18 novembre 2018 à la Maison du Peuple, à Ouagadougou.
En deuxième point de divers, le Président de l’ADF/RDA, Maitre Gilbert Noël Ouédraogo, a informé l’assistance de l’organisation à Ouahigouya, du 22 au 24 Novembre, du Festival Sports et Culture de la Ville de Ouahigouya (FESCO) dont il est le promoteur.
En troisième point de divers, les participants ont évoqué la comparution le 26 Octobre dernier du Secrétaire général de la CGTB, M. Bassolma BAZIE, devant le Tribunal de grande instance de Ouagadougou.
Il devait y répondre des faits de délit commis par voie de presse suite à une plainte déposée par des candidats au concours annulé de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Une délégation du CFOP, composée des Présidents du MPJD, M. Patrice Z. SAMBARE, et de l’UFDB, M. Mahamadi KOLA, avait été dépêchée pour assister à l’audience, qui a été finalement renvoyée. Pour l’Opposition politique, tout citoyen est justiciable, et nul n’est au-dessus de la loi.
Cependant, l’Opposition s’inquiète de l’instrumentalisation grandissante de la justice par le pouvoir en place, en vue de régler ses comptes avec ceux qui le gênent. L’Opposition souhaite que la justice fasse son travail en toute indépendance et impartialité. Elle apporte son soutien et ses encouragements à M. Bassolma BAZIE, et reste en alerte sur ce dossier.
Débutée à 18 heures, la réunion a pris fin à 21 heures.
Ouagadougou, le 31 octobre 2018
Le service de communication du Chef de file de l’Opposition politique
CDP section USA : Eddie Komboigo galvanise les militants de New-York
samedi, 03 novembre 2018 15:38 Écrit par Infobf.netLa section USA du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) organise, les 3 et 4 novembre 2018 à New-York, les 48h de sa section. Pour l’occasion, une forte délégation de la direction politique nationale du parti accompagnera le président, Eddie Komboïgo « himself » à cette rencontre de partage et de mobilisation des militants autour des idéaux de la social-démocratie.
Eddie Komboigo, à la tête d’une forte délégation, se rendra à New-York les 3 et 4 novembre 2018 pour les 48 heures de la section CDP/USA. Il sera à cet effet accompagné du premier vice-président et d’autres membres influents du parti.
La raison de cette mobilisation est de faire de New-York, le bastion de la mobilisation des Burkinabè de l’étranger et de leur participation aux élections de 2020 aux côtés du Congrès et la démocratie et le progrès (CDP).
Il sera question, lors de ses 48 heures de mobilisation, de sensibilisation et de formation des militants pour les joutes électorales à venir. Des techniques d’approche, de transmission de messages sur la social-démocratie et la participation des Burkinabè à l’étranger à prendre part activement à la vie du parti, même en étant loin du Faso natal seront à l’ordre du jour.
Pour le docteur en leadership des organisations, Marcel Yaméogo, secrétaire chargé des structures du parti à l’extérieur section Etats-Unis d’Amérique au sein du Bureau exécutif national du CDP, la participation du président du parti est un signe qu’il faut aller au cœur du système démocratique, l’exemple de la démocratie par excellence au monde que sont les USA pour donner le ton de la mobilisation des Burkinabè de l’étranger.
« J’invite par conséquent tous nos militants, les membres des structures et tous les sympathisants de notre parti à se mobiliser pour réserver un accueil chaleureux à notre président et pour un franc succès de nos 48 heures.
Tous au 180 West 135 Street, New York, NY, 10027 à 16heures précise pour témoigner de notre militantisme », a lancé M. Yaméogo.