C’est le siège de la Nouvelle Alliance du Faso (NAFA), qui a servi de cadre à la rencontre organisée par la J. CODER ce jeudi 27 avril 2017. L’objectif de cette rencontre était d’une part, annoncer la naissance de cette nouvelle structure dénommée « J. CODER » et donner leur point de vu sur le meeting du 29 avril prochain du CFOP.

Le Ministre d’Etat, Ministre de la Sécurité, Simon Compaoré, a reçu en audience le jeudi 20 avril 2017, une délégation de l’Union Police Nationale (Unapol), conduite par son Secrétaire Général (SG), le Commissaire Wakilou Sénou. 

L’opposition politique a tenu son 1er meeting depuis l’avènement du régime Kaboré au pouvoir le 29 novembre 2015. La maison du peuple ce 29 avril 2017, plein comme un œuf, a regroupé militants et chefs de partis des 32 formations politiques de l’opposition du Burkina. Le Chef de File de l’Opposition Politique, Zépherin Diabré n’a pas manqué l’occasion pour malmener le pouvoir en place.

Sous le coup d’une notion de destitution pour l’opacité de sa gestion portée par seize conseillers dont quatre de son propre parti politique, l’UPC, l’accusée était face à la presse ce vendredi 07 avril 2017. Rihanatou Ouédraogo dit vouloir apporter sa part de vérité dans ce qu’elle a qualifié de « manipulation du parti au pouvoir » pour la destituer.

Ce lundi 10 avril 2017, les députés burkinabè ont examiné et adoptes deux projets de lois soumis par l’exécutif. Bientôt la Carte nationale d’identité burkinabè (CNIB) va devoir disparaitre. Les dispositions de mise en œuvre du nouveau sésame, la carte d’identité CEDEAO, ont eu l’assentiment du législateur. Le deuxième projet de loi qui a été adopté est celui portant régime pénitentiaire au Burkina Faso. 

Le Collectif pour un peuple unis (CPPU), était face à la presse le mercredi 29 mars 2017. Au menu des échanges, c’est la gestion du pouvoir de Roch Marc Christian Kaboré depuis son accession au pouvoir qui est décrié par les responsables du CPPU. Ils appellent déjà le peuple à une révolution des urnes en 2020.

Après de procès de « Madi Ouédraogo et 28 autres » qui a fait coulé beaucoup d’encre et de salive il ya quelques mois au Burkina Faso, le tribunal militaire ouvre à nouveau un procès à polémique et très attendu par les populations.

Le ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion civique, garde des sceaux a procédé le mardi 28 mars 2017 à l’ouverture de deux ateliers sur les poursuites pénales des infractions liées aux armes à feu et la validation d’un avant-projet de loi. Pendant deux jours, les participants seront outillés sur les nouveaux textes régissant la répression des armes légères au Burkina Faso. L’avant-projet de loi de validation quant à lui sera soumis à la sanction des députés. 

Suite à la conférence de presse du groupe municipal de l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) sur la gestion administrative et financière de la mairie centrale de Ouagadougou, celui du Mouvement du Peuple pour le Progrès mis en cause, réagit. Pour ce groupe municipal dont la gestion a été qualifiée d’opaque et tachée d’incohérence, les accusations le l’UPC sont assimilable à une campagne de dénigrement et de déstabilisation à quelques mois de la reprise des élections municipales dans l’arrondissement 4 de Ouagadougou.

Le ministre de la sécurité Simon Compaoré, entouré des hauts gradés de l’armée s’est entretenu avec les hommes de média le vendredi 24 mars 2017 à Ouagadougou. Simon Compaoré a passé en revue les différentes attaques terroristes enregistrée par le Burkina Faso depuis 2015 et les différentes actions des Forces de défenses et de sécurité pour y faire face.

L’Organisation des jeunes leaders africains (OJLA), a tenu une conférence de presse le jeudi 16 mars 2017, à Ouagadougou. La situation sécuritaire et la justice ont été les sujets au centre des échanges avec les hommes de média.