L’Union des Jeunes Entrepreneurs du Burkina (UJEB) était face à la presse ce mercredi 8 novembre 2017, à Ouagadougou. L’objectif visé par ces jeunes entrepreneurs est d’analyser la situation socio-économique du Burkina Faso, ont-ils fait savoir. Selon cette structure la relance économique du pays est de plus en visible avec la passation de marché en conseil de ministre. L’actualité sur le mouvement d’humeur de l’UNAPOL et l’interpellation de François Compaoré, étaient des sujets à l’ordre du jour de cette conférence. 

C’est le centre de presse Norbert Zongo qui a servi de cadre au Mouvement citoyen pour l’ancrage de la démocratique (MOCAD), qui a présenté à la presse sa lecture sur la gouvernance, la sécurité intérieure et la justice en ces moments au Burkina Faso. Le MOCAD dit s’inquiéter de l’agissement du syndicat de la Police nationale qui selon lui, «met en rude épreuve la sécurité du pays». Face à cette inquiétude, Rahouf Bayiré et ses camarades demandent la dissolution de l’UNAPOL. 

L’annonce de la libération provisoire du Général Djibrilll BASSOLE le 10 octobre 2017 a suscité des réactions multiformes en fonction de la couleur politique ou des sensibilités des uns et des autres.

Dans le cadre de la commémoration des trois ans de l’insurrection populaires des 30 et 31 octobre 2014, l’Alliance des Partis de la Majorité Présidentielle (APMP) a tenue une conférence publique ce mardi 31 octobre 2017, au Conseil burkinabè des chargeurs. C’est autour du thème «l’insurrection populaire, trois ans après, bilan et perspective: consolidations des acquis» que le débat a été planté avec plusieurs communications portées par trois panelistes. L’APMP, composée de 31 partis et formations politiques est le groupe de politique qui accompagne la mise en œuvre du programme du président Roch Marc Christian Kaboré.

A ce troisième anniversaire de la commémoration de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014, plusieurs acteurs politiques et de la société civile ont brillé par leur absence. Toutefois, cette célébration s’est déroulée dans la sobriété comme le voulaient les parents des victimes. Un vœu était sur toutes les lèvres et c’est celui d’une justice pour les victimes tombées. Du coté des certains leaders d’OSC tels Marcel Tankoano du M21 et Safiatou Lopez du CCNOSC, c’est la déception, ils estiment être victime de liquidation. 

Ceci est une déclaration de l’Union pour le Progrès et le changement (UPC), en marge à la commémoration les 30 et 31 octobre 2017 des 3 ans de l’insurrection populaire. Le parti dit s’en démarquer.

Le Ministère de la défense nationale et des anciens combattants a lancé ce lundi 30 octobre 2017 à Ouagadougou, sa 6ème édition de la rencontre biennale des attachés de défense. Cette rencontre permettra aux ambassadeurs militaires, de prendre connaissance des évolutions au niveau nationale et de capitaliser les expériences, les pratiques et les orientations. Durant six jours, les participants seront informés sur les réalités du pays, afin de réussir leurs missions. 

Conférence publique ce samedi 28 octobre 2017, à Ouagadougou sur le tribunal international Monsanto, tenu les 14 et 16 octobre 2016 à la Haye au Pays-Bas. C’est une initiative du Collectif citoyen pour l’agroécologie (CCAE), qui a tenu à faire une communication sur la restitution des résultats des travaux de ce tribunal. Les échanges ont portées sur trois axes à savoir, le tribunal international Monsanto, le crime d’écocide et la projection d’un film dont le titre évocateur est «Bientôt dans vos assiettes, de gré ou de force».

Du nouveau dans le paysage médiatique du Burkina Faso, de l’Afrique et même du monde, peut-on dire. « Le Quotidien Numérique d’Afrique », est un média né au sien de la rédaction du magazine « Sciences-campus info » en 2016. Sa première parution le 21 avril de la même année fait qu’il compte à ce jour 554 numéro en termes de parution. Cette nouvelle plateforme de publication en ligne au Burkina Faso a été officiellement présentée au public et lancée ce jeudi 26 octobre 2017 au siège de l’organe à Ouaga2000.

Le ministre de la Culture des Arts et du Tourisme Tahirou Barry démissionne du gouvernement par cette lettre qu’il a publié sur sa page Facebook. Tahirou Barry claque la porte du gouvernement en faisant des déclarations torrides. «J’en ai assez» ou encore «ma déception est profonde», sont ses expressions.